. L'équitation de légèreté .

École Bauchériste 2° manière

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École de l'à-propos

Etre léger à la main ( EHE - Beudant, p. 30 ) :

Lorsqu’il est léger, en indiquant seulement les mouvements par les rênes, le cheval agit seul, tout se fait sans effort, sans heurt, et le cavalier ressent l’impression de bien-être, de contentement que seul procure le travail exécuté avec légèreté, avec descente de main et de jambes. ( VA - Beudant  p. 99  légèrement modifiée )

... Seulement après avoir obtenu la vraie position avec la main fixe [... en simple bridon, par la main très haute et fixe qui donne l’élévation maxima de l’encolure et la légèreté ; alors seulement, on laisse la tête se placer à la position la plus commode, verticale ou à peu près( DCS - Beudant, p 64 )...], il faudra laisser couler les rênes, baisser la main et avoir le cheval léger et mâchant son mors sur une descente de main, non sur un point fixe. ( VA - Beudant, p. 80 et 81  légèrement modifiées )

... Et ne rendre que suffisamment pour ne plus sentir la bouche, dès que les jambes sont employées. ( SE - Beudant  p. 21 )

 




Etre aussi léger aux talons qu’à la main ( EHE - Beudant  p. 86 ) :

* Jambes : au début coups de mollet ou pression des mollets, des talons ou des éperons. Plus tard, remplacer immédiatement le mollet, si l’animal n’obéît pas tout de suite, par l’éperon. Enfin, simple effleurement des jambes sans déplacement aucun. ( VA - Beudant, p. 79 )

* La vapeur du Comte d’Aure, ( EHE - Beudant p. 22 ), réglée ainsi, est l’image de l’impulsion indispensable... ( EHE - Beudant p. 36 )

* ... L’avoir toujours coulant et comme insaisissable dans les talons. ( OC - L'Hotte, p. 111 )

* Avant de m’en occuper, laisse-moi te donner une preuve de la nécessité absolue en dressage, de ne pas se contenter d’à peu près et d’entretenir toujours l’impulsion ( VA - Beudant, p .94 ). Si le cheval n’obéît pas, le cavalier ne peut s’en prendre qu’à lui-même : c’est qu’il a mal placé son élève, ou qu’il ne lui a pas donné l’impulsion nécessaire. ( EHE - Beudant, p. 10 )

 

 





Je pense que c’est dans l’à-propos et la délicatesse “du parler” avec le cheval par les aides alternatives,
le main sans jambes, jambes sans main, que Beudant, par un travail assidu, y a puisé son génie.

 


                                                                          /Documents/Beudant 2007.pdf